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Peut-on mettre du diluant dans le vernis Au Secours ?
Récemment, une cocotte nous a posé la question suivante : peut-on ajouter du diluant à Au Secours s’il épaissit ? Une bonne question, mais qui mérite une réponse technique, car Au Secours n’est pas un vernis classique. Un vernis-sérum déjà fluide par natureContrairement aux vernis classiques qui forment un film sur l’ongle, Au Secours est un vernis-sérum conçu pour pénétrer et renforcer l’ongle. Il contient :• Des solvants : alcool dénaturé, ethyl acetate, butyl acetate.• Des actifs réparateurs : MSM (Méthylsulfonylméthane) et silicium organique, qui renforcent la kératine de l’ongle. Son avantage ?Une texture fluide, qui lui permet d’agir en profondeur. Normalement, il ne devrait jamais avoir besoin d’être fluidifié. Les solvants d’un diluant sont-ils compatibles ?Les diluants pour vernis classiques contiennent généralement les mêmes types de solvants que Au Secours : ethyl acetate, butyl acetate, parfois alcool.Sur le papier, on pourrait penser que c’est compatible. Mais en réalité, ce n’est pas une bonne idée. Pourquoi ne pas mettre de diluant dans Au Secours ?• Un risque d’altération de la formule : Au Secours est conçu pour être pénétrant et non pour former un film. Ajouter un diluant pourrait déséquilibrer cette capacité.• Une action des actifs diminuée : le MSM et le silicium organique sont là pour renforcer l’ongle. Modifier la formule pourrait réduire leur efficacité. Que faire si Au Secours semble épaissir ?• Toujours bien refermer le flacon après usage pour éviter l’évaporation des solvants.• Stocker dans un endroit frais et sec, loin des sources de chaleur.• Remuer doucement avec le pinceau si besoin, mais ne pas secouer comme un vernis classique.• Si en toute fin de flacon il semble épaissir légèrement, mieux vaut l’utiliser tel quel plutôt que d’y ajouter quoi que ce soit. Idéalement, il vaut mieux faire couler la fin du flacon neuf dans un nouveau flacon pour ne pas gâcher plutôt que de lui ajouter du diluant. ConclusionIl n’est pas recommandé d’ajouter du diluant dans Au Secours. Sa texture fluide et sa formulation spécifique n’ont pas besoin d’être modifiées. Si une sensation d’épaississement apparaît, il vaut mieux identifier la cause plutôt que d’altérer la formule. Un bon stockage et une utilisation correcte garantissent une fluidité optimale jusqu’à la dernière goutte.
Apprendre encore plusMon mascara s'est épaissi.
Pourquoi et que faire (ou plutôt ne pas faire) ? Une cocotte nous a fait remarquer que son mascara semblait s’épaissir plus vite que prévu. Impossible de savoir exactement pourquoi : peut-être une question d’habitudes d’application, d’exposition à la chaleur, ou simplement une perception différente de la texture au fil du temps. Dans tous les cas, voici ce qu’il faut savoir sur l’épaississement du mascara et ce qu’il est possible de faire – ou pas – pour y remédier. Pourquoi un mascara peut-il épaissir plus vite ?Un mascara est une émulsion fluide avec une balance précise d’ingrédients qui lui permet d’être à la fois couvrant, souple et résistant. Certains facteurs peuvent accélérer son épaississement : • Trop d’air dans le tube : Si on referme mal son mascara ou si on “pompe” la brosse dans le tube, on y fait entrer de l’air, ce qui favorise l’évaporation des composants volatils. • Exposition à la chaleur : Un séjour dans un pays chaud, une trousse laissée en plein soleil, dans une voiture ou un stockage à proximité d’un radiateur ou salle de bains peuvent modifier sa texture. • Le temps qui passe : Un mascara évolue naturellement et peut sembler plus épais après quelques semaines. C’est souvent normal, tant qu’il reste homogène et fluide. • Un ressenti subjectif : Un mascara neuf est plus fluide, mais il atteint vite sa texture optimale. Ce qui peut être perçu comme un “épaississement” est parfois juste une stabilisation de la formule. Ce qu’il ne faut surtout pas faire• Ne pas ajouter d’eau : L’eau du robinet contient du calcaire, des bactéries et d’autres impuretés qui peuvent contaminer le mascara et altérer sa formule. • Ne pas ajouter d’huiles ou de corps gras : Un mascara est une émulsion équilibrée. Modifier cette balance peut le rendre inefficace, faire baver la matière et raccourcir sa durée de vie. • Ne pas tenter de “réchauffer” la formule de manière excessive : La chaleur excessive peut déstabiliser certains agents filmogènes du mascara, ce qui peut impacter sa tenue et son efficacité. La solution (que je ne recommande pas mais qui est un moindre mal)Si ton mascara a moins de six mois, qu’il a épaissi de manière anormale et que tu souhaites malgré tout lui redonner un peu de fluidité, voici une alternative qui limite les risques : • Ajouter une à deux gouttes de sérum physiologique ou d’eau distillée dans le tube. • Refermer le mascara et remuer lentement en faisant des cercles avec la brosse pour homogénéiser. Pourquoi cette solution est-elle préférable à d’autres ?Le sérum physiologique ou l’eau distillée sont stériles et ne contiennent pas d’impuretés, contrairement à l’eau du robinet. Cela limite le risque de contamination, mais n’élimine pas complètement la possibilité que des bactéries se développent plus vite dans le produit. Les bonnes pratiques pour éviter que ton mascara ne sèche trop vite• Referme bien ton mascara après chaque utilisation. • Stocke-le à température ambiante, loin des sources de chaleur et de l’humidité. • Ne garde pas ton mascara plus de six mois après ouverture. • Ne jamais "pomper" la brosse dans le tube. Tourne-la doucement pour éviter d'incorporer de l'air. ConclusionUn mascara épaissi est simplement le vieillissement naturel de celui-ci, généralement la 1ere semaine il semble meme trop fluide, la texture c'est véritablement une histoire de gouts (comme pour les vernis) mais il ne faut pas tenter n’importe quoi pour le fluidifier. Ajouter de l’eau ou des corps gras est une mauvaise idée, car cela altère la formule et peut poser des problèmes d’hygiène. Si vraiment ton mascara a épaissi trop vite et qu’il a moins de six mois, une goutte de sérum physiologique peut être un dernier recours, mais mieux vaut éviter de prolonger la durée de vie d’un produit qui a atteint sa limite.
Apprendre encore plusHuile Nomade ou Nourrissante ?
Alors, quelle est la différence entre l’Huile Nomade et l’Huile Nourrissante ? Bonne question, et surtout très légitime, parce qu’elles ont chacune leur personnalité et leur utilité. Mais s’il y a une chose à retenir, c’est qu’elles sont complémentaires : l’une ne remplace pas l’autre.Commençons par l’Huile Nourrissante. C’est la star de la routine maison. Avec sa texture fluide et légère, elle pénètre rapidement et nourrit en profondeur grâce à un cocktail d’huiles riches et bienfaitrices comme l’amande douce, le coco et l'huile de maracuja. Elle sent délicatement les agrumes, ce qui la rend parfaite pour des instants cocooning. Personnellement, je l’utilise avec ma brosse douce pour masser ses ongles. Elle est conçue pour être un soin intensif, idéal pour se poser et prendre du temps pour soi. Mais son flacon pipette, aussi pratique soit-il, n’est pas vraiment fait pour être trimballé dans un sac.C’est là qu’intervient l’Huile Nomade. Mini format, maxi efficacité. Elle est pensée pour les retouches rapides et ciblées : sa texture baume solide ne risque pas de couler, et elle fond au contact de la peau pour hydrater et protéger instantanément tes ongles et cuticules. Elle a un parfum totalement différent, très gourmand, apparement l'odeur des poupées Corolle. Retour en enfance assuré.Et son mélange de beurres (karité, cacao) et d’huiles comme l’avocat est conçu pour des besoins très spécifiques. Elle se glisse dans le sac pour suivre partout, prête à intervenir à la moindre alerte.Les huiles qu’elles contiennent ne sont pas les mêmes, leur format non plus, leur odeur encore moins. Elles ont chacune un rôle bien défini : l’une pour ton rituel maison, l’autre pour t’accompagner dans tous les déplacements. Moi, j’ai les deux. L’Huile Nourrissante reste à la maison pour mes moments cocooning, et l’Huile Nomade ne quitte jamais mon sac. À vous de choisir… ou pas !
Apprendre encore plusJ'ai une inflammation au bout du doigt, à l’aide !
Ça peut être une envie mal traitée, une manucure qui a mal tourné, une blessure de jardinage, une coupure… Bref, le doigt est abîmé, et ça fait mal. Que faire dans ce cas ? "En début de panaris, il faut tout de suite tremper deux fois par jour le doigt dans un antiseptique pendant trois ou quatre minutes. Si ça ne s'améliore pas très rapidement, il faut consulter son médecin pour prendre des antibiotiques, cela peut être très grave et il faut le prendre en charge tout de suite" met en garde la Docteure Sophie Goettmann, dermatologue spécialiste des ongles. “Et si la douleur est lancinante, nocturne et qu'elle vous empêche de dormir la nuit, il faut impérativement consulter ou aller aux urgences” confirme la spécialiste. Dans le pire des cas, un panaris peut exiger une intervention chirurgicale. Personnellement, si ça fait moins de 24 heures et que c’est rouge et gonflé, mon premier réflexe : la pharmacie. Je demande un flacon d’Hexomédine pour faire des bains, ainsi qu’Auréocyde qui est une crème antibactérienne transcutanée (je ne suis pas sponsorisée par le laboratoire). Ne sous-estimez pas la gravité d’une telle blessure, les conséquences peuvent être graves. Cela va généralement crescendo et ne passe que très rarement tout seul. Si ce genre de désagrément vous arrive souvent, ayez toujours un kit de secours d’avance.
Apprendre encore plusEst-ce que l’on peut mettre du diluant dans le top coat ?
Absolument ! Par contre, il faudra bien rouler une fois les gouttes ajoutées encore un peu plus qu’un vernis, juste pour bien le mélanger. Comme le top coat bleucocotte est ULTRA accélérateur de séchage, il peut s’épaissir plus vite dans la bouteille. Malheureusement, impossible d’avoir le bénéfice accélérateur sans cet inconvénient. Petite astuce, n’attendez pas que votre top coat ou vernis soit trop vieux avant de commencer à utiliser les gouttes de diluant. Il vaut mieux entretenir sa fluidité au fur et à mesure que d’essayer de la rattraper quand il est trop tard.
Apprendre encore plusJ'ai des petits bouts d’ongles qui poussent sur le côté, qu’est-ce que c’est ?
Cela s’appelle des envies. Leur nom viendrait du fait que quand on les voit, on a trèèès envie de les arracher. Ce sont de petites peaux ou déchirures cutanées qui se forment sur les côtés des ongles. Elles apparaissent souvent lorsque la peau est sèche ou abîmée, et peuvent être causées par des habitudes comme se ronger les ongles ou une exposition à des produits ménagers. Bien qu'elles soient généralement bénignes, les envies peuvent être douloureuses et, si elles sont arrachées ou manipulées, elles peuvent conduire à des infections ! Du style, PANARIS. Pour éviter ça, on anticipe en nourrissant chaque jour le pourtour des ongles et si une envie se présente on dégaine sa pince BLEUCOCOTTE préalablement désinfectée à l’alcool à 70 et on coupe cette peau à ras au lieu de l’arracher avec vos dents ou de la trifouiller pendant trois heures avec vos mains pleines de bactéries (je vous vois !).
Apprendre encore plusJ'ai un ongle qui se fend tout le temps dans la longueur, que faire ?
Dans 99 % des cas, un ongle qui se fend dans la longueur c'est un processus récurrent et définitif. La fissure résulte généralement d’une strie qui se forme dès la racine de l’ongle, au niveau de la matrice, là où les cellules sont produites. Si le processus de pousse est altéré à cet endroit, la strie persistera à vie. Cependant, en évitant de polir ou limer cette strie, vous pourrez empêcher qu’elle ne se transforme en fissure. Si l’ongle est déjà fendu, il est essentiel de le raccourcir autant que possible pour éviter qu’il ne s’accroche. Si vous ne disposez pas d’un équipement spécifique, un simple pansement peut suffire pour le protéger au quotidien. Pour une solution plus durable, vous pouvez opter pour un "pansement gel" à l’aide du Mini Œuf LED BLEUCOCOTTE et d’un semi-permanent spécifique. Cela permettra de maintenir l’ongle intact le temps que la fissure disparaisse avec la repousse. Les stries, souvent appelées "rides de l’ongle", sont un phénomène naturel. Bien qu’il soit impossible de les éliminer, on peut ralentir leur progression en adoptant des gestes simples : nourrir ses ongles quotidiennement, faire des cures détox régulières et privilégier une longueur courte. Les ongles sont un véritable capital qu’il est essentiel de préserver. Mieux vaut agir en prévention, avant qu’il ne soit trop tard. Je suis là pour vous accompagner et vous aider à instaurer de bonnes habitudes ! 😊
Apprendre encore plusJ'ai les ongles mous, que faire ?
Déjà, mon conseil n°1, c’est de les raccourcir au maximum ! Plus des ongles mous sont confrontés à des chocs et des pressions au quotidien, plus ils vont se déformer, jusqu’à devenir inesthétiques. Si vous portez du vernis ou du semi-permanent, la matière ne sera pas aussi flexible que vos ongles et il ne tiendra pas. Qu’est-ce qui peut expliquer ce phénomène ? Carences nutritionnelles : Un manque de vitamines et de minéraux essentiels, tels que la biotine, le fer, le zinc, et les vitamines A, C, et E, peut affaiblir les ongles et les rendre mous. Exposition à l'eau et aux produits chimiques : par exemple faire le ménage ou la vaisselle sans gants, car cela altère sévèrement le film hydrolipidique des ongles. Usage excessif de vernis à ongles / semi-permanent : d’où l’importance de faire une détox régulièrement et de laisser ses ongles nus. Problèmes de santé sous-jacents : certaines affections médicales, comme les troubles de la thyroïde, l'anémie, ou les maladies du foie et des reins, peuvent altérer leur qualité. Hydratation insuffisante : d’où l’importance de nourrir quotidiennement ses ongles (je ne le répèterai jamais assez !) pour conserver son hydratation et sa structure. Facteurs génétiques : Certaines personnes peuvent naturellement avoir des ongles plus mous, au même titre que striés ou cassants.
Apprendre encore plusL'ongle respire-t-il ?
Même si nos ongles sont composés de kératine et ne “respirent” pas au sens propre, ils peuvent absorber des produits chimiques et se déshydrater sous une couche de vernis en continu. Les laisser “nus” régulièrement, c’est leur offrir une pause bien méritée. Rappelons que sur l’ongle se trouve le film hydrolipidique, responsable de l’équilibre de la santé et de la qualité des ongles. Il est évident que quand vous mettez du vernis, du semi ou du gel, vous venez perturber cet équilibre, qu’il faut fatalement rattraper par des cures détox qui vont permettre avec des huiles spécifiques (huile nomade, huile nourrissante Bleucocotte). Les vernis à ongles, même biosourcés, restent de la “peinture”, même lorsqu’ils sont traitants. Je ne parle même pas des faux-ongles (gel) appliqués parfois sans pause des mois ou des années entières. C’est comme porter un plâtre, tout s'abîme en-dessous ! L’hydratation est bloquée sous le plastique, d’autant que le gel nécessite toujours une intervention de la ponceuse pour être retiré, mettant en danger l’ongle. On risque la blessure, voire des dommages définitifs sur la matrice. Le semi-permanent, lui, peut être porté de façon ponctuelle quelques fois dans l’année, entre 15 jours et 3 semaines sans aucun dommage, s’il est posé et enlevé dans de bonnes conditions (liquide de fonte, gestes appropriés). En vérifiant bien sûr à chaque dépose que vos ongles le supportent bien.
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